Bref, comme j'avais décidé de parler sur ce blog de chose un peu moins futile que de fringues (ce qui fait que les gens abonnés pour ça se retrouvent avec des critiques de jeux vidéo dont ils en ont surement rien à pété x) ), je me suis dit qu'avec mon retour, les deux pieds dedans, dans l'univers des poupées j'allais faire un bref tour d'horizon de toutes mes poupées, avec leur petite histoire personnelle, etc...
Je suis entrée dans le monde des dolls en 2007 par les pullips, puis en 2009 avec les bjd. J'ai essayé de développer l'univers qui entourait mes poupées au maximum en leur octroyant des histoires (certains plus développées que d'autres j'en conçois).
J'ai stoppé les photos (et les poupées) entre 2010 et 2014, parce que le lolita a pris beaucoup de place dans ma vie (et qu'en plus la commu pullip m'a quelque peu saoulé).
Aujourd'hui je reprends ma passion pour les poupées à pleine main, et j'ai plein de projets.
Voici donc la présentation de ma troupe (et je m'excuse pour les très problèmes fautes d'orthographes, je reviendrais sur l'orthographe sous peu)~
~Obscure~
C’était il y a de cela quelques années. Quelques dis-je, sans doute beaucoup plus que ça… P-e il y a une 40aine d’année, p-e plus…
Le temps se faisait mauvais sur la petite maison noire du bout de la rue. La petite Claire, alors âgée de 23ans jouait paisiblement du piano dans sa chambre. Un long silence ce fit entendre dans la maison d'habitude si bruyante... Un bruit de vaisselle brisée retentit dans toute la maison… Claire et ses deux jeunes sœurs descendirent le grand escalier de la maison, pour arriver devant la porte blanche et immense de la cuisine. Les 3 sœurs se regardèrent pendant quelques minutes, et Claire décida d’ouvrir la porte… La première chose qui se fit remarquer fut l’immense marre de sang qu’il y avait derrière la porte, une immense marre de sang écarlate, d’un rouge qu’on aurait dit tout droit sortie de l’enfer. Le regard des trois sœurs se figea, et celui de Claire devint aussi blanc que neige, sa pupille noire disparu pour laisser place au vide… Un corps gisait au milieu de la pièce, le sang avait coulé, la personne avait ramper dans son dernier souffle espérant p-e un peu de secours. Cette personne qui gisait sur le sol, n’était autre que la mère des trois sœurs… On pouvait lire la souffrance dans ses yeux, comme ci son dernier moment sur Terre, le dernier souffle qu’elle avait émis, n’avait été que souffrance infinie. Le regard apeuré des deux plus jeunes sœurs, et le regard vide et blanc de Claire, se mélangèrent à nouveau… Son sang ne fit qu’un tour, et dans un élan de précipitation, la jeune fille se mit à courir, à courir et pour ne plus jamais s’arrêter; aussi loin qu’elle le pouvait, aussi loin de que ses petites jambes frêles la mènerait. Ses jambes accablées par le nombre de kilomètres, se figèrent… Elle s’arrêta et vis un immense manoir devant elle… Grand et sombre… Elle finit par s’y réfugier, sans doute pour ne plus jamais le quitter et tout oublier...
Les heures, les jours, les mois, les années passèrent… Rien ne semblait perturber son corps, sans vie, elle resta assise dans ce manoir…
Rien ne semblait, non plus, perturber le calme qui était revenu dans la petite maison noire du bout de la rue.
Le regard de Claire, vide et sans vie, s’éclaira et sans trop savoir pourquoi elle se leva, comme guidé par une puissance salvatrice, elle commença à marcher vers la sortie du manoir, à marcher vers un endroit qu’elle ne connaissait pas ou p-e qu’elle avait simplement envie d’oublier.
Une porte devant elle... Elle était immense, froide, sombre ; une sensation morbide vint frapper Obscure, et comme possédée elle s’avança, poussa la porte, marcha… et tomba.
Levant les yeux, elle s’aperçut qu’elle n’avait pas pénétré dans un lieu anodin, mais qu’elle était assise au beau milieu d’un cimetière ; levant encore un peu la tête, elle se retrouva nez à nez avec une pierre tombale… Le vent vint faire virevolter les cheveux devenus blancs de Claire, le silence s’installa… Des larmes coulèrent de ses joues. Sa mère, qu’elle avait oublié, le sang qu’elle avait vu ce jour là… La mémoire lui revint, et les larmes ne s’arrêtaient pas de couler… Le regard de Claire se vida de tout ce qu’il restait de regret en elle.
Le vent souffla si fort que Claire pu sentir ses regrets s’envoler…
Une présence étrange lui apparu, comme quelqu’un tapis dans l’ombre derrière elle, l’observant, la dévisageant. Dans une poussée de courage,elle se retourna et ce retrouva nez à nez avec un homme… Il avait les yeux rouges, rouges écarlates comme le sang qu’elle avait vu il y de cela quelques années… Ces yeux brillaient si fort qu’elle pouvait voir son âme à l’intérieur. Ces cheveux gris blanc ressemblait aux nuages des jours de pluie, Claire le regarda et se sentis apaiser. Leurs regards fusionnèrent le temps d’un instant, celui d’un être sans vie, et celui d’un être maléfique… L’homme s’approcha d’elle et la serra dans ces bras ; un souffle glacé parcourra le corps d’Obscure… Une douleur intense la transperça, elle sentait le monde partir; et elle, elle se sentait s’envoler, vide de tout problème… L’homme la pris dans ses bras de nouveau ; le sang coula le long du corps d’Obscure… Cette nuit là, elle a décidé de ne plus vieillir. Elle modifia son nom, trop chargé de souvenir à son goût, en Claire-Obscure...
Alucard, la créature de la nuit, à fait le serment solennel de toujours veiller sur celle qu’il aimait… L’un, regard perdu dans le vide à jamais, moitié morte, moitié vivante… L’autre, le regard rouge sang, éternel à jamais dans la mort…
~Aduscias~
Un jour normal sur terre, deux regards qui se croisent, l'amour, le coup de foudre immédiat. De prime abord, ils ont l'air normaux, un jeune homme très beau à la crinière flamboyante et une femme frêle d'un blond éclatant. De prime abord seulement...
Apollyon, tel était le nom de cet homme. C'est de lui qu'a hérité Aduscias... Apollyon n'est autre que le gardien des portes des enfers, un démon, qui éprit d'amour pour les humains, n'a de cesse d’errer parmi eux pour se sentir à sa place. Néanmoins, une relation amoureuse ne lui semblait possible avec un humain... C'est pourquoi...
Aduscias, jeune femme, à vécu une enfance heureuse avec sa mère... heureuse, oui.
Pour ses 18 ans elle reçu un collier, un soi disant cadeau de son père. Ah son père, oui son père, elle le détestait! Pourquoi n'avait-il jamais été là quand elle en aurait eu besoin, pourquoi sa mère refusait de parler de lui et surtout pourquoi finissait-il par réapparaitre soudainement dans sa vie sous la forme d'un collier... Une clé, mais qu'ouvrait-elle cette fameuse clé. Beaucoup de question qui sont restées sans réponses, les années sont passées, les choses ont changées... Presque toutes.
Le corps d'Aduscias n'a pas subit une seule détérioration du temps, pourquoi? Partir à la recherche de son père semblait la meilleure solution... Était-elle condamnée à vivre éternellement, à errer seule jusqu'à la fin des temps sans personne à qui se confier...
~Okinawa~
"J'ai peur de la mort, J'ai peur de la vie, J'ai peur des souvenirs, J'ai peur de dormir... J'ai peur d'être seule..."
Échoué sur la plage, un corps. Des cheveux noirs, non. Bleus, non. Noirs... Une longue mèche, elle flotte sur l'eau. Un regard bleu profond mais vide. Une interrogation dans le regard: "qui suis-je réellement". Un temps. Assise sur la plage, la jeune fille échouée commença à bouger les lèvres
"On m'a dit que je suis mignonne... mignonne? Pourtant, je n'arrive pas à sourire... Qui suis-je réellement au fond? Qu'est-ce que je fais là, sur cette plage, complètement trempée. Je ne m'en souviens plus très bien... Et ce collier dans mes mains, je sens qu'il est le seul lien avec mon passé... Je me souviens, chaque nuit c'est pareil, j'ai mal. Je souffre. Pourquoi tant de haine, de rancœur et de douleur en moi? Mes yeux ne veulent plus se fermer et moi je ne veux plus souffrir. Je crois que... revoir des atrocités, des crimes... Je ne veut plus avoir à fermer les yeux pour m'endormir, jamais!
Je suis bonne à jeter, à errer. Je crois que je ne suis qu'un être brisé."
Un temps.
"Je me souviens... Le plaisir de tuer. Je crois que j'aimais quelqu'un aussi. Mais qui? Aurais-je commis l'irréparable?"
Un temps.
"Oui, je crois que... Laisser moi mourir... Je ne mérite pas de vivre! Mourir dans l'agonie... Comme ceux dont je rêve. Je veux m'éteindre tant que je vis dans l'ignorance... Oui, finalement mes souvenirs je n'en veux pas."
Un temps.
"Je me sens tellement seule, tellement mal.. Mes mains sont tachées de sang, je le sens. Je suis souillé. Laissez moi seule!"
Un temps.
"Je veux me souvenir... Mais j'ai peur de ce que je pourrais découvrir..."
~Miss Paramount~
/traduction du Sélunien/
Très cher père et mère,
Je ne sais pas si cette lettre vous parviendra, sur Terre la vie est différente de Sélunia et le courrier va visiblement bien moins vite.
Je voulais vous dire que j'ai été très heureuse durant toutes ses années à vos côtés, Sélunia, le palais, tout ça, soyez sûr que je ne l'oublierais pas. Mais voilà, être une princesse ça plairait surement à beaucoup de gens mais moi ça m'ennuie! C'est pourquoi je vous ai emprunté un vaisseau pour partir (mais je crois que vous l'avez sans doute remarqué); la planète Terre m'attirait beaucoup parce que j'avais vu une photo dans un livre, de ce qu'il appelle ici "cirque", et je trouvais ça super! C'est bien jolie les mondanités, être polie et tout le reste mais si on ne peut pas faire ce que l'on veut, ça ne sert à rien. Moi ce que je veux c'est travailler dans un cirque et devenir clown, alors ma décision est prise! J'ai même un nom de scène Miss Paramount, c'est bien non?
Je me suis bien intégré ici malgré des problèmes de langue au départ, j'ai plein d'ami ne vous en faite pas pour moi. Je reviendrais vous faire un petit coucou quand cela sera possible, pour l'heure je me consacre corps et âme à la réalisation de mon rêve. J'espère que vous serez fier de moi!
A bientôt,
dyOmAraCulbissiamolérAstamafiOodicarImiré
P.S: pas la peine de venir chercher le vaisseau, je crois qu'il est mort.
~NoName~
"Vous voulez bien fermer la porte derrière vous. Voilà comme ça, merci!"
Un silence
"Vous êtes là pour en apprendre plus sur moi c'est ça? Vous allez surement être très déçu. Vous savez je ne suis qu'une coquille vide qui peut se mouvoir; je n'ai pas d'anciens souvenirs je ne sais que m'en créer de nouveau. Mais pour être tout à fait honnête je ne sais même pas si j'ai eu des souvenirs un jour, j'ai vraiment l'impression d'être vide. Je vis au jour le jour, voilà ce qu'il faut retenir.
Vous savez j'aime m’assoir dans un fauteuil avec un livre et une tasse de thé, voilà la seule chose qui me fait plaisir. Il n'y a vraiment rien à dire sur moi; je ne suis pas intéressante. Si vous avez envie vous pouvez partir, ça ne me dérange pas.
En plus je préfère être seule, je n'arrive pas à lire quand vous êtes là."
Un silence
"Oh, et ce n'est pas la peine de revenir."
~Dolmancé de Mirvel aka Mlle Pudding~
1795, je m’appelais Dolmancé de Mirvel, 20 ans à peine...
J’ai longtemps vécu avec père et mère dans ce que l'on pouvait appeler un manoir, père et mère étaient de riche notables, jeune ils n'avaient pas le temps pour moi, je devais jouer seule dans ma chambre. Je n'avais pas d'ami, l'extérieur me faisait peur et me semblait malsain, j'avais crainte que dehors il m'arrive malheur, c'est pourquoi je fuyait les contacts extérieurs. J'ai eu une enfance de solitude où mon seul vrai ami était Henry notre majordome, lui seul s'occupait de moi... Mes jeux de solitude continuèrent et continuèrent encore jusqu'à ce que je devienne adolescente... Je fus une jeune femme bien triste, renfermée je passais mon temps à lire, toute la bibliothèque de père y passa. Quand je fus assez cultivé père m'emmena prendre des leçons, il avait à cœur que je devienne écrivain. L'extérieur me terrorisait toujours autant, je du prendre sur moi à chaque fois qu'il m'emmenait à l'extérieur.
Je fis la rencontre de deux jeunes femmes lors de mes leçons, j'ai oublier leur nom mais peu importe, elles étaient très amicales avec moi et me parlaient beaucoup d'elles, de leur vie, j'aimais les écouter car j'avais comme l'impression de m'imaginer une autre vie.
C'était l'été 1796, mes leçons prenaient fin et mes jeux de solitudes recommencèrent, j'eusse bien essayer de sortir mais rien n'y faisait cette peur me terrassait.
Je me sentais plus seule que jamais...
Un soir, alors que père et mère dormais paisiblement, je me réveilla en sursaut. J'avais l'impression de ne plus contrôler mes mouvements, comme ci mon corps ne voulait plus rien entendre, je ne voulais pas sortir de mon lit, ni même marcher dans le couloir mais rien n'y faisait je subissais péniblement. Je ne me souviens plus de la suite, je ne sais pas ce qu'il s'est passé... Je me suis réveiller plus tard dans la rue en chemise de nuit, étaler sur un trottoir; le rire des passants me glaçait le sang... Je me mis à courir vers le manoir.
Arrivé devant il ne restait qu'un tas de cendre, tout avait brûler, un désastreux accident me disait les gens qui regardaient les dernières braises se consumer...
On eu dit par la suite que 4 corps furent retrouvés dans le manoir, les 2 maitres de maison et leur domestique et un quatrième corps trop brûlé pour que l'on puisse l'identifier mais l'on disait que c'était leur jeune fille Dolmancé, qui avait périt avec eux...
Je n'ai jamais rien compris à toute cette histoire, et j'ai décidé de l'oublier pour m'offrir une nouvelle vie...
Je suis feu Dolmancé de Mirvel, aujourd'hui Mademoiselle Pudding... S'il vous plait, ne l'oubliez pas.
~Tartarus~
La jeune veuve ne pouvait s'empêcher de pleurer, même après toutes ces années la douleur était la même. Elle avait tout essayé pour retrouver son amour perdu, le spiritisme, les marabouts... Tout. Mais jamais elle n'avait pu lui parler une dernière fois, lui dire au revoir.
Elle se souvint de cette fameuse nuit, quant réveiller par un bruit soudain provenant de la cuisine, elle se retrouva nez à nez avec une créature fort peu attrayante... Cette créature lui proposa un marché. Elle avait eu vent de la recherche effréné d'Arcadia pour parler à son défunt époux, et elle lui proposait de lui octroyer le pouvoir de voir les morts en échange d'un œil, un seul œil, son magnifique œil bleu! Ah, son œil contre un nouveau, un nouveau qui lui permettrait de pouvoir voir son mari, communiquer avec lui... Cela semblait alléchant au premier regard et Arcadia ne prit pas longtemps pour y réfléchir, elle sauta sur l'occasion en criant en grand "oui". Après tout ces dernières années avaient été un calvaire, loin de celui qu'elle aimait, son seul but était bel et bien de le revoir une dernière fois...
Le problème dans les marchés c'est qu'il y a souvent des non dits... malheureusement... certains humains ne sont pas réceptif à ce pouvoir et peuvent réagir de façon inattendu.
Arcadia, après des nuits de souffrance avec son nouvel œil, essaya d'appeler son mari, mais cela ne marcha pas. Essais après essais, des mois durant, rien ne se passait.
Les jours, les mois passèrent, Arcadia semblait perdre pied, peu à peu elle sombrait dans la folie, ne sachant plus vraiment qui elle était...
Son esprit finit par s'envoler, laissant une coquille vide; mais pas vide pour longtemps puisqu'il existe toujours des esprits, échappés des abysses de tourment, à la recherche d'un nouveau corps... Ainsi commença la nouvelle vie de Tartarus.
Arcadia (pullip vendue) |
Tartarus: Reboot 2.0 |
~Claire-Obscure~
Claire-Obscure, étant l'incarnation bjd du personnage d'Obscure, elle partage la même histoire.
~Méphistophélès~
Méphisto est ce que l'on appelle une enfant précoce. Elle a très tôt compris que le monde qui l'entourait n'était pas celui des contes de fée de son enfance, qu'il était en réalité bien plus sale et sombre. Les gens sont mornes et tristes et n'ont pas spécialement d’intérêt...
Quelle petite fille déprimante, vraiment!
Ahah, mais Méphisto n'est pas une personne triste, elle a juste envie, elle, de s'amuser un peu plus que les autres, de ne jamais laisser partir la malice de son enfance et le pétillant de sa vie. Ce qu'elle aime faire de sa vie? Hé bien... faire des bêtises, des blagues, tout ça! Vous savez elle aime rigoler cette petite, mais... vous je ne sais pas si cela vous ferait rire, surtout si vous devenez sa cible principale.
Quel démon cette Méphisto!
~Myéline~
Myéline vivait au jour le jour, elle n'avait plus de chez elle. Enfin si elle en avait toujours un, mais elle ne voulait plus y retourner. Son père, sa mère, ils n'avaient pas réfléchis une seule seconde à l'avenir de leur fille, qu'allait devenir une jeune fille moitié humaine, moitié faune dans un monde en proie à la méfiance, à la peur de l'étranger... Ils n'ont pas réfléchis... Ils ont cru que leur amour allait suffire pour préserver un être du reste du monde; hé bien ils avaient tord.
Myéline est devenue un être solitaire, méfiante des autres; elle vit isolé du reste du monde, tantôt errant dans une forêt, tantôt au bord d'une plage. C'est mieux ainsi, pense t-elle. C'est une relation saine, elle n'embête personne, et personne ne l'embête...
Une question subsistait, qu'allait-elle devenir? Pourrait-elle survivre encore longtemps avec ce mode de vie? Elle serra fort son lapin en peluche, Hazel, et s'endormit...
~Hazazel~
Parfois il est des histoires étrange dont on ne sait rien. On se dit que les choses sont ainsi et que tout ne peut pas être expliqué à la perfection. Hazazel fait partie de ces histoires dont on sait peu de chose.
Un esprit, un fantôme ou autres choses, qu'était vraiment Hazazel, d'où venait-elle? Tout ce que l'on savait c'est qu'elle aspirait au calme et à la tranquillité loin de la race humaine. Il lui fallait donc trouver un endroit qui le lui permettrait. Quoi de mieux qu'un être inanimé, une poupée ou une... peluche! Une petite peluche, d'une enfant solitaire qui vit loin du monde.
Oui, vivre dans une peluche pour n'en sortir que lorsque personne ne regarde, que lorsque les autres sont endormis, pour vivre sa vie de solitude.
Deux êtres solitaires qui vivent ensemble sans même le savoir...
~Paillette~
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire